Vitalik Buterin, cofondateur d’Ethernet, a expliqué sa vision de l’avenir du réseau Ethernet, en mettant l’accent sur la décentralisation, la lutte contre la censure, une pile unique et le développement de solutions de couche 2 (L2).

1 ) Décentralisation et contrôle

Buterin affirme que la décentralisation reste une valeur fondamentale d’Ethereum. Le réseau doit résister aux pressions politiques et économiques. Buterin affirme que la décentralisation n’est pas seulement technique, mais aussi politique et architecturale : elle réduit le risque de piratage et de collusion en empêchant un contrôle centralisé. La lutte contre la censure joue un rôle important pour garantir la liberté de l’internet : les développeurs doivent mettre en place des mécanismes pour protéger les utilisateurs des restrictions, même si cela déplaît aux régulateurs.

2 . saut unique

Vitalik soutient activement l’idée d’une prise de risque personnelle et affirme que l’abaissement du seuil minimum pour participer à l’Ether Risk encouragera la décentralisation. Actuellement, il faut posséder au moins 32 ETH pour devenir validateur, ce qui limite l’accès aux utilisateurs réguliers. M. Butlin propose de modifier ce seuil afin d’attirer davantage de participants et de rendre le réseau plus résistant aux problèmes de centralisation associés aux grands pools.

3 ) Solutions de niveau 2 (L2)

Au fur et à mesure que le réseau Ethernet se développe, le coût de la couche 1 augmente également, ce qui limite l’adoption de l’Ethernet à grande échelle. Les solutions de la couche 2 (L2), telles que l’agrégation, peuvent contribuer à réduire les frais et à augmenter la capacité du réseau. Des frais moins élevés et des transactions plus rapides peuvent rendre la blockchain plus attrayante pour un public plus large et améliorer la rentabilité des contrats intelligents et des applications.

M. Buterin estime donc que l’avenir d’Ethernet réside dans la poursuite de la décentralisation, le développement de solutions anti-censure et l’amélioration des possibilités de participation des utilisateurs par le biais d’un étalonnage normalisé et de la norme L2. Ces mesures amélioreront la sécurité du réseau et faciliteront son utilisation par les utilisateurs du monde entier.